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La Guerre d'Algérie

29 janvier 2015 4 29 /01 /janvier /2015 13:55

 Rappelons qu'il s'agit de trouver en urgence 2,2 milliards d'euros nécessaires pour boucler le budget 2015, soit environ 7 % de son montant "sanctuarisé" par la loi de programmation militaire. Ce budget 2015 devait être abondé par des ressources exceptionnelles produites par la vente de fréquences radio aux opérateurs télécoms. Mais celle-ci ne pourra sans doute pas se réaliser avant 2017. Or il faut que l'argent prévu soit parvenu aux armées avant la fin de l'été prochain.

le fait qui heurte le plus les militaires, bien qu'ils ne s'expriment pas publiquement sur ce point : "Compte tenu de l'aléa inhérent aux recettes exceptionnelles, et ce, quelle qu'en soit l'origine, le budget du ministère de la Défense, sur lequel repose plus que jamais en cette période de grande tension sur le plan sécuritaire la protection de la sécurité des Français et des intérêts vitaux de la nation, devrait être intégralement financé par des ressources dont la survenance est certaine, c'est-à-dire par des crédits budgétaires."

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25 janvier 2015 7 25 /01 /janvier /2015 22:08
Emouvante cérémonie en mémoire  du 70ème anniversaire de la libération du camp d'Auschwitz à la synagogue Rachi de  Grenoble, l'assassinat des quatre français juifs de l'hyper cacher par un islamiste quelques jours plus tôt étant encore dans toutes les mémoires.
Nombreuse assistance , la synagogue étant bondée et représentation de tous les corps constitués , civils , militaires, et religieux
Parmi les nombreux drapeaux, ceux de l'Union Nationale des Combattants du Dauphiné (JL Négro et A.Cohen), l'Union nationale des Parachutistes et le Souvenir Français.
Notre illustre adhérent Pierre Gascon,94 ans, Président des Déportés et Internés,  malgré un récent accident de santé, était aussi présent.
La cérémonie a été sécurisée par un groupe de combat de l'Armée française de dix hommes,mais à ce jour la synagogue est toujours sous protection militaire
PC
Crédit photos ; Viviane Attard
Crédit photos ; Viviane Attard

Crédit photos ; Viviane Attard

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24 janvier 2015 6 24 /01 /janvier /2015 14:15
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Published by ACBIVIERS
23 janvier 2015 5 23 /01 /janvier /2015 15:02
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22 janvier 2015 4 22 /01 /janvier /2015 07:30
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22 janvier 2015 4 22 /01 /janvier /2015 06:59
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Published by ACBIVIERS
19 janvier 2015 1 19 /01 /janvier /2015 22:45

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19 janvier 2015 1 19 /01 /janvier /2015 22:06

Le Point

Par

Si tout s'est passé comme le président de la République l'avait annoncé le 14 janvier sur le Charles de Gaulle, Jean-Yves Le Drian a remis dimanche soir au plus tard sa copie sur le "ralentissement du rythme des baisses d'effectifs". François Hollande a dit qu'il prendra sa décision le 21 janvier, après un Conseil de défense. On a bien compris lors de sa déclaration qu'il ne revient pas sur la suppression de 18 300 postes qu'il avait décidée pour les trois années budgétaires 2016 (7 500), 2017 (7 300) et 2018 (3 500). Mais il demande que leur réduction se fasse moins vite que prévu. C'est-à-dire ? Les explications manquent toujours.

6 000 postes budgétaires maintenus ?

Concrètement, prenons comme hypothèse que François Hollande ait en tête de conserver pour quelque temps 2 000 postes par an, soit 6 000 en tout. Sachant que chaque poste militaire coûte en moyenne 40 000 euros par an, cette mesure coûterait environ 250 millions d'euros. Au regard d'un budget de 31 milliards, ce n'est pas énorme. Mais, sauf à mettre la loi de programmation militaire cul par-dessus tête, ce n'est pas finançable en l'état. Et où prendra-t-on l'argent, sachant qu'il manque déjà 2 milliards d'euros pour financer le seul budget 2015 ? François Hollande répète régulièrement et publiquement que le budget est "sanctuarisé" à 31,4 milliards d'euros par an, ajoutant que "tous les projets qui sont prévus par la loi de programmation militaire en 2015 pourront se concrétiser. Je pense à la commande des douze avions ravitailleurs MRTT pour l'armée de l'air, au lancement du grand programme Scorpion pour l'armée de terre, à la rénovation de onze ATL2 et à la commande de bâtiments de soutien et d'assistance hauturiers pour la marine, ainsi que d'une centaine de véhicules pour les forces spéciales ; tout sera exécuté comme il est prévu".

Deux milliards manquent pour le budget 2015

Résumons : le budget 2015 n'est pas financé. Il manque 2 milliards d'euros, au moins, que des "ressources exceptionnelles" - produit de la vente de fréquences radio aux opérateurs de télécommunications - devaient apporter et qui ne seront pas au rendez-vous. Comment seront financées les nouvelles charges voulues par François Hollande ? Mystère. Le Journal du dimanche croit savoir que les nouvelles dépenses des armées seraient couvertes par des crédits supplémentaires de 500 millions d'euros, financés avant l'été par un collectif budgétaire. Qui servirait aussi à abonder les opérations extérieures, qui avaient coûté 1,2 milliard de plus que prévu en 2014. L'observateur commence à se gratter vraiment le crâne, d'autant plus que les politiques du ministère de la Défense évoquent, pour régler à tout le moins les problèmes budgétaires de l'année en cours, la constitution des très acrobatiques "sociétés de projet". Le principe consisterait à revendre des matériels de combat à des sociétés privées constituées pour l'occasion. Celles-ci fourniraient donc le cash permettant de boucler le budget 2015, en se faisant payer ensuite un loyer pour la mise à disposition de ces matériels. Mais s'ils ont reçu l'appui de l'Élysée, ces projets font face à deux adversaires de taille qui contestent la pertinence de ce choix, Bercy et les armées.

Aggravation du déficit

Au ministère des Finances, qui ne s'exprime pas sur le sujet, on souligne néanmoins que les emprunts souscrits auprès de ces hypothétiques sociétés de projets seraient intégrés dans la dette de la France, aggravant donc son déficit. Pourquoi, dans ces conditions, ne pas attribuer à la Défense les fonds nécessaires à partir du budget de l'État, sans autre forme de procès ? Le silence des armées est aussi assourdissant. Mais cela n'empêche pas la Grande Muette d'être vent debout contre ces sociétés, dont le principe consiste, selon une formule entendue récemment, "à mettre nos Rafale au mont-de-piété et nos frégates au clou ! Si ça arrivait, ce serait de la cavalerie totalement inconsciente !" Les critiques portent d'abord sur les conditions financières qu'imposeraient ces sociétés : les loyers seraient assortis de frais financiers énormes, certaines sources évoquant des taux considérables "plus près de 10 % que de 1 %". De plus, ces sociétés seraient nombreuses, une par type de matériels, "en créant des postes d'appontage pour des amis politiques, payés à prix d'or sur le dos des armées", s'indigne un officier. Les militaires sont également rétifs à s'engager au combat avec des matériels qui n'appartiendraient pas à l'État, refusant que ces engins soient entretenus dans les zones de combat par des entreprises privées. Bref, ils n'en veulent pas...

Opérations intérieures avec Vigipirate, opérations extérieures qui ne sont pas parties pour être revues à la baisse : la quadrature budgétaire de la défense n'est pas près d'être résolue. Sauf bien sûr si François Hollande annonçait, mercredi, les décisions que les armées attendent ! Aujourd'hui plus que jamais, l'argent est le nerf de la guerre.

 

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17 janvier 2015 6 17 /01 /janvier /2015 06:27

Publié le 7 janvier 2015 par ActuNautique.com

C'est le seul moyen trouvé par le Ministère de la Défense pour parvenir à boucler son budget 2015 !

On connaissait le leasing pour les véhicules automobiles. Il faudra désormais s'y faire pour les navires de la Marine Nationale !

Confronté à de grosse difficultés budgétaires et à son incapacité à tailler dans les dépenses publiques, la France fait preuve d'une grande ingéniosité financière quand il s'agit de trouver - à court terme -  des nouvelles rentrées financières, et après les hausses d'impôts qui ont asséché la classe moyenne et fait partir les plus fortunés, les services de Bercy sont en train de se surpasser pour ce qui concerne le budget de la défense.

Car question budget, la Défense Nationale peut se targuer d'être le seul ministère à réaliser de sérieuses économies depuis des années, avec des effectifs qui ont fondu de 7881 postes en 2014, tandis que les missions extérieures ne cessaient de croître.

A telle enseigne d'ailleurs que dans le domaine des dépenses militaires, la France pointe désormais derrière l'Arabie Séoudite !

La Loi de Programmation Militaire LPM en cours a vu le budget de la défense amputé en 2014 de 1.7% de ses rentrées, à 29.6 milliards. Pour 2015, il s'établira à 31.4 milliards d'euros, soit 29.1 milliards, de crédits de paiement et 2.3 milliards.... de rentrées exceptionnelles, notamment la cession de fréquences hertziennes et la vente de biens immobiliers....

Le seul hic dans toute cette belle construction réside justement dans les rentrées exceptionnelles car la cession des fréquences hertziennes ne devrait pas intervenir avant la fin de l'année !

concrètement, il manque donc près de 2 milliards d'euros à Jean-Yves le Drian pour payer ses troupes, mettre de l'essence dans les jeeps, payer des gilets pare-balle des soldats et le carénage des bâtiments de la Marine Nationale...

C'est dans ce contexte que les services de Bercy ont eu l'idée de céder le matériel de l'armée à des sociétés de projet (SPV : special purpose vehicles) qui le relouerait à la défense, pour un montant supérieur, l'armée en redevenant propriétaire à la fin du contrat, via une option d'achat, dont le montant pourrait révéler des surprises d'ailleurs, la tendance pouvant être forte de minimiser les loyers pour doper cette dernière, et refiler ainsi l'eau du bain... au gouvernement suivant !!

Il est à noter que les SPV ne seraient pas chargés de l'entretien, entretien réalisé par l'échelon traditionnel, et se contenteraient donc de la prestation de location.

Dans le domaine de la Marine Nationale, tous les bâtiments pourraient être ainsi vendus, à l'exception des sous-marins nucléaires et des unités stratégiques utilisés pour des opérations extérieures, sachant que la simple vente d'un avion de transport Airbus A400M pourrait rapporter 150 millions d'euros (facturés 168 millions par les constructeur à la France..).

Combient vaut donc chaque bâtiment de la Royale ?

Selon nos informations, une cellule de chez DCNS travaillerait sur ce dossier depuis la mi-novembre, notamment pour ce qui concerne les Fremm, les frégates multimissions dont le dernier exemplaire à réceptionner par la Marine Nationale, la Fremm Normandie... pourrait être vendue à l'Egypte, avant même que d'être rentrée en service, une vente bienvenue pour DCNS mais onéreuse pour la LPM !!

En attendant, les obstacles juridiques sont nombreux à lever avant le mois de juin, date butoire de la mise en place de ces SPV, avec une question à la clé : leur capital sera t-il ouvert à des investisseurs étrangers ?

En bref et pour faire simple : le Qatar va-t-il directement financer l'armée française ?

Qu'il est décidément difficile de vivre au dessus de ses moyens... 

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16 janvier 2015 5 16 /01 /janvier /2015 15:10

iFRAP

Suite aux attentats terroristes récents le gouvernement a demandé au ministère de la Défense (MINDEF) de déployer un volume de 10.000 personnels dans le cadre du plan VIGIRATE. Une décision en accord avec le projet de loi de programmation militaire 2014/2019 qui précise : "En cas de crise majeure, elles doivent pouvoir renforcer les forces de sécurité intérieure et de sécurité civile, avec un concours qui pourra impliquer jusqu’à 10 000 hommes des forces terrestres, ainsi que les moyens adaptés des forces navales et aériennes.". C’est donc l’armée de terre [1] qui fournit le gros des effectifs affectés non seulement à des patrouilles mobiles (transport public,…) mais aussi à la protection d’emprises publiques et privées (écoles confessionnelles, lieux de culte…). La question à poser maintenant est la suivante : alors que le volume de déploiement en métropole est désormais atteint (en adéquation avec la loi de programmation), si jamais nous avions besoin de plus de 10 000 hommes en métropole, nos forces de souveraineté des DOM-COM pourraient-elles être déployées ? A l’heure où le Président de la République parle à juste titre de décélérer le rythme de réduction des postes dans la Défense, le sujet est plus que jamais d’actualité.

http://www.ifrap.org/Comment-faire-face-aux-besoins-a-la-fois-des-OPEX-et-des-missions-VIGIPIRATE%2c14663.html?utm_source=NewsletterSoci%C3%A9t%C3%A9civile&utm_medium=e-mail&utm_content=Derni%C3%A8respublicationsdansR%C3%A9formedel%E2%80%99%C3%89tatetdesInstitutions&utm_campaign=Newsletterdu15-01-2015


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