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Les terroristes français qui n'en ont que les papiers d'identité - Boulevard Voltaire
Le vendredi 23 avril, vers 14 h 20, Stéphanie Monfermé, agent administratif de 49 ans, a été égorgée par le chauffeur-livreur Jamel Gorchene, 36 ans, dans le sas de l'hôtel de police de Ramb...
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"Fake news" : l'agence de presse turque Anadolu dans le viseur du ministère de l'Intérieur français
Depuis des mois, cet organisme d'information, faux-nez du gouvernement d'Ankara, tire à boulets rouges sur la France, son " islamophobie d'État " et sa politique en matière de laïcité. Inquiet...
Jugeant qu'il y a péril en la maison France vingt officiers généraux de la deuxième section et plus de mille militaires en retraite ou du cadre de réserve ont lancé un appel aux instances gouvernementales. Voici sans esprit de polémique l’opinion émise à titre personnel par un groupe de citoyens qui ont en commun d avoir servi à une période active de leur vie comme officiers dans l'une des trois Armées .
Ce faisant aucun ne revendique pour autant la représentation de l'opinion des militaires d’active ni ne suggère un quelconque engagement de la part de ces derniers , eux qui sont dédiés à servir activement et souvent au péril de leur vie leur nation considérée comme un tout“
L’heure est grave, la France est en péril, plusieurs dangers mortels la menacent.” (...) “Aussi, ceux qui dirigent notre pays doivent impérativement trouver le courage nécessaire à l’éradication de ces dangers. Pour cela, il suffit souvent d’appliquer sans faiblesse des lois qui existent déjà. N’oubliez pas que, comme nous, une grande majorité de nos concitoyens est excédée par vos louvoiements et vos silences coupables.”
C’est dans cette approche que réside notre désaccord car si nous partageons la définition de ces dangers ils nous apparaissent comme les simples symptômes d’un mal plus profond à la racine duquel il convient de s’attaquer si l’on veut que la France survive. N’est-il pas illusoire de demander à ceux qui instillent le poison de façon probablement consciente et sans doute en toute sincérité de bien vouloir changer de seringue pour nous instiller le contre-poison ?
Dans sa grande majorité la classe politique de notre pays servie par un système parlementaire plus que séculaire a été depuis des décennies dévoyée par la haute finance qui détient les cordons de la bourse et la maîtrise des grands médias et qui décide donc de qui sera ou non élu, servie en cela par toutes sortes de relais que sont parmi d’autres Bilderberg, Davos, le CRIF et les fratries.
Cette classe politique que Jean Pierre Chevènement alors lucide avait qualifiée de pareille-au-même, servie par une administration solide et déférente, n'est là que pour faire exécuter les diktats de ceux qui détiennent le pouvoir c’est à dire la haute finance, diktats relayés par l’organisation de la communauté européenne composée de plus de 25000 fonctionnaires qui n’ont été élus par personne mais sont investis de l’autorité que leur confèrent les traités.
Ce qui met mortellement en péril la France, c’est tout simplement le libéralisme effréné qui est inscrit dans le marbre des traités dits européens se traduisant par la désindustrialisation du pays tout autant que par l’abaissement de notre langue, l’emploi du globish par les médias, la publicité envahissante et ...le chef de l’Etat lui-même, c’est aussi la destruction de l’outil de l’énergie nucléaire et la politique d’auto-flagellation au plus haut niveau et en toute occasion, c’est encore le délitement de l’éducation nationale et de la politique de santé publique, c’est enfin la mise en résidence surveillée de 66 millions de Français avec port obligatoire de la muselière.
« Les Français ont besoin d’un projet ».
En aucun cas d’une guerre civile.
Sous signature de
Claude Gaucherand, contre-amiral (2S), Alain Corvez, colonel -Terre (er), Bernie Le Van Xieu,
colonel-Terre (er) Jean-Marie Lauras, colonel (Air) (er), Jean Marie Six IGA (2S), Jacques
Hogard, colonel-Terre (er), Michel Debray, vice-amiral (2S), commissaire
colonel-Terre (er) Michel Lucas colonel-Terre (er), Hubert de Gevigney, contre-amiral
(2s) Philippe Bourcier de Carbon, capitaine de frégate (er), Vivian Gauvin lieutenant-colonel
(Air) (er), Jean Baptiste de Fontenilles, colonel Terre (er), Regis Chamagne colonel (Air) (er)