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La Guerre d'Algérie

27 novembre 2013 3 27 /11 /novembre /2013 22:28

Une enquête de la CIA et du FBI de 2009 a révélé qu’au moins cent islamistes extrémistes avaient déjà infiltré l’Armée américaine, et parmi ces individus, certains avaient été en contact avec des islamistes radicaux, qui avaient noyauté des unités militaires en Espagne, en Grande Bretagne, en France et en Allemagne.

Pour de nombreux jeunes musulmans nés en Espagne, la carrière militaire offre une alternative au chômage des jeunes de moins de 25 ans, qui dépasse les 60%. Souvent, un passage par l’armée ouvre les portes à des emplois dans le civil, soit dans la police nationale, soit dans d’autres domaines relatifs à la sécurité.

L’armée espagnole surveille en douce ses soldats musulmans

Or, l’armée espagnole surveille en douce ses soldats musulmans, afin de prévenir la propagation de l’islam radical dans ses rangs, comme révélé par un document déclassifié du Ministère de la Défense, divulgué à la presse espagnole.

L’armée espagnole est en train de remplacer ses soldats musulmans par de nouvelles recrues, originaires d’Amérique latine, afin de réduire les risques dans les régions à forte population musulmane.

L’Espagne avait aboli la conscription en 2002 et effectué la transition vers une armée de métier, mais il lui fut impossible de trouver suffisamment de jeunes Espagnols de souche pour combler les rangs, en raison sans doute d’une situation résultant d’un mélange d’apathie, de pacifisme et d’une baisse du taux de natalité, l’un des plus bas de l’Union européenne (1.36 en 2011).

A l’instar d’autres pays européens confrontés à un semblable dilemme, le Ministère de la Défense espagnol, dans une recherche désespérée de candidats pour l’Armée, s’est dès lors tourné vers les recrues musulmanes. Mais l’enrôlement de musulmans dans l’armée est une arme à double tranchant. Si l’Espagne a besoin d’effectifs, recruter des soldats musulmans nourris aux idéologies extrémistes avait de quoi inquiéter les autorités.

Un document rédigé par le chef adjoint de l’état-major de l’armée espagnole, le général Jesús Carlos Fernández Asensio, le 24 octobre 2013, était intitulé :
« Mesures à appliquer aux militaires suspectés d’entretenir des liens avec le radicalisme islamique »

Ce document, ultra-confidentiel, qui a fuité à la presse et a été publié par El Pais le 19 novembre, montre que l’armée espagnole a détecté dans ses rangs « la présence de personnes clairement liées au radicalisme (idéologique, religieux ou criminel) dans leurs vies privées ou sociales. »

« La conduite de ces individus rend l’armée vulnérable et représente une menace potentielle pour la sécurité nationale. Dans le but de neutraliser ou du moins réduire ce risque, l’armée a mis en place une série de mesures qui seront appliquées par les commandants militaires à tout membre du personnel militaire considéré comme suspect, et ce à n’importe quel moment. »


Les mesures comprennent :

la révocation des autorisations de sécurité à tout soldat, soupçonné de radicalisme, l’interdiction d’occuper un poste de travail où il pourrait représenter un risque pour la sécurité ou avoir accès à des informations sensibles.


Le document énumère ainsi plus d’une douzaine d’emplois ou lieux à interdire à tout individu suspecté de radicalisme :

  • police militaire ou d’autres unités liées à la sécurité,
  • l’état-major,
  • locaux où sont traités et entreposés les documents classifiés,
  • armureries, arsenaux et dépôts d’armes,
  • les centres de communication et les systèmes d’information,
  • les emplois de chauffeur, de garde du corps, et dans les escortes de sécurité,
  • les postes de tireurs d’élite et de démineurs,
  • et… n’importe quel autre poste à déterminer par le commandant de l’unité.

Vérifier tout projet de voyage à l’étranger

Des unités militaires sont chargées de la surveillance des suspects à différents niveaux : prosélytisme, degré de radicalisation et activités publiques (médias sociaux, presse, etc.). Elles doivent également garder la trace de toutes les poursuites civiles ou pénales, en dehors du cadre de l’armée, qui peuvent impliquer un soldat suspecté de liens avec des radicaux islamistes, et de vérifier tout projet de voyage à l’étranger.

 

Le ministère de la Défense recommande la stricte application des règlements disciplinaires du Code pénal militaire et des politiques de prévention et de lutte anti-drogue. Ces procédures fourniraient la base juridique nécessaire pour permettre d’exclure de l’armée tout soldat suspecté de radicalisme. Le document propose également le « développement d’un « système de notation spécial pour tout soldat qui afficherait un changement important dans son comportement professionnel.. »

Une évaluation négative serait un motif valable pour le licencier de l’Armée.


Bien que le document ne définisse pas précisément ce qu’implique le terme «radicalisme», il se réfère certainement à l’islam salafiste, principal source d’inquiétude pour le ministère de la Défense espagnol, suite au nombre croissant de recrues musulmanes dans les rangs de l’armée.

Il n’existe pas de statistiques officielles quand au nombre exact de musulmans servant dans les forces armées espagnoles, qui comptent actuellement 140.000 actifs et 5000 réservistes.

Toutefois, le problème de la présence de soldats musulmans est spécialement crucial dans les enclaves de Ceuta et de Melilla, sur la côte nord du Maroc. Les Musulmans représentent approximativement 30% des troupes stationnées à Ceuta et Melilla, où le taux de chômage atteint 40%.

Des agents d’al-Qaïda infiltrés

En juillet 2012, le « Centro Nacional de Inteligencia » (CNI) fut informé par la CIA, que des agents d’al-Qaïda avaient infiltré des unités de l’armée espagnole basées à Ceuta et à Melilla, territoires que l’AQMI (al-Qaïda au Maghreb islamique basé en Algérie) menacent depuis longtemps de reconquérir pour l’islam.

Cette alerte, transmise aux Autorités espagnoles, fut le résultat d’une enquête menée par la CIA et le FBI en novembre 2009, après l’attentat terroriste islamiste perpétré par le major Nidal Malik Hasan, un sympathisant d’Al-Qaïda, à Fort Hood au Texas, et qui coûta la vie à 13 soldats et fit plus de 30 blessés.

Des islamistes dans les armées en Espagne, en Grande Bretagne, en France et en Allemagne

D’après les résultats de l’enquête, au moins cent islamistes extrémistes avaient déjà infiltré l’armée américaine et parmi ces individus, plusieurs avaient été en contact avec les islamistes radicaux qui avaient noyauté des unités militaires en Espagne, en Grande Bretagne, en France et en Allemagne.

Selon les rapports des medias, les enquêteurs du CNI commencèrent à rechercher des soldats musulmans qui ne correspondent pas au profil « classique » du pieux musulman, à savoir des individus qui ne montraient aucun signe d’appartenance à la culture musulmane, qui semblaient même très occidentalisés, buvaient de l’alcool, fumaient, mangeaient sans respecter les interdits imposés par le coran et ne fréquentaient pas les mosquées locales.

Après enquête, les Autorités militaires décidèrent de remplacer des douzaines de soldats musulmans par des recrues d’Amérique du Sud. L’éviction de l’armée de soldats musulmans, pour « manque de confiance » ou « loyauté douteuse » ne fit qu’aggraver les tensions avec la communauté musulmane locale, qui distribua des milliers de tracts dénonçant la « persécution des soldats espagnols de confession musulmane. »

L’inquiétude relative à une éventuelle infiltration du salafisme radical dans l’armée espagnole remonte à décembre 2006, quand une opération de police appelée « Operacion Duna » démantela une cellule salafiste qui planifiait des attentats terroristes à l’aide d’explosifs volés par des soldats musulmans à Ceuta. Le raid, qui impliqua plus de 300 policiers, résulta en l’arrestation de 11 salafistes, y compris des « Espagnols », parmi lesquels trois d’entre eux servaient dans l’armée.

Depuis lors, la police espagnole a effectué plus de 20 raids à travers l’Espagne afin de démanteler les cellules salafistes.

Rosaly : malgré ces faits inquiétants, l’UE continue à promouvoir l’immigration de masse musulmane, à faire entrer les loups islamiques dans la bergerie occidentale. D’un côté, nos gouvernements dépensent des sommes colossales, nos impôts, pour enquêter et lutter contre les islamistes infiltrés dans nos pays dans le but de nous détruire, et de l’autre, ils ouvrent les bras et les portes de l’Occident à de plus en plus de Musulmans, parmi lesquels des islamistes radicaux. Tout en nous répétant que l’islam est une religion de paix.

Pour Tarik Ramadan, les Musulmans d’Occident devraient se conduire comme s’ils vivaient déjà dans une société à majorité musulmane et étaient de ce fait exemptés de toute concession à la religion, à la culture et aux lois de la société hôte. Les Musulmans d’Europe devraient avoir le droit de vivre selon leurs propres principes, affirme Ramadan, et la société occidentale, dans son ensemble, devrait, au nom de la tolérance, avoir l’obligation de respecter ce choix. Charmant Frère musulman, Tarik.

Une phrase, citée par Otto von Bismarck, le premier chancelier impérial allemand de 1871 à 1890, pourrait parfaitement s’appliquer à l’Europe du XXIe siècle :
« L’Europe d’aujourd’hui est un baril de poudre, et ses dirigeants sont comme des hommes qui fument dans un arsenal »

Pour gagner la guerre qui s’annonce contre le djihad, la première chose à faire est de commencer à parler franchement de l’identité et du caractère de l’ennemi, et de la nature de la menace. L’obligation d’agir ainsi est dictée par la moralité au moins autant que par la nécessité de se préserver.

« Si tu connais l’ennemi et si tu te connais, tu n’as pas à craindre le résultat de cent batailles », dit Sun Tzu.

« Nous connaissons l’ennemi. Nous connaissons ses convictions essentielles, ses exemples, son cursus, son état d’esprit, son mode d’action et ses intentions. Nous connaissons aussi ses faiblesses, nombreuses, et qui sont dominées par son incapacité à créer une économie prospère ou une société fonctionnelle et harmonieuse.

Il appartient aux millions d’Européens normaux et à leurs cousins américains de mettre fin à cette folie. La classe des traîtres veut qu’ils partagent sa volonté de mort, qu’ils s’annihilent en tant que peuple doté d’une mémoire historique et d’une identité culturelle, et laissent place à l’utopie post-humaine uniforme dont le fer de lance est la cinquième colonne djihadiste »
- Serge Trifkovic.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.

 

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