11 juin 2024
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Dans la semaine de commémoration du 70e anniversaire de la bataille de Dien Bien Phu, une autre brulure de l'histoire en évoquant la fin de la guerre d'Algérie, ou les soldats à la merci des errements des politiques
Cette fin tragique refusée par toute la majorité européenne de l'Algérie et une partie des français musulmans servant la France depuis 1840, va provoquer un refus d'accepter la décision présidentielle d'abandonner ce pays à la revanche et la cupidité du seul parti du FLN.
Claud Piegt fera partie de cette révolte avec beaucoup de soldats français qui seront exécutés ou emprisonnés par le pouvoir.
L'après 19 mars provoquera les massacres des français européens d'Oran ,mais bien d'autres encore dans toute la guerre d'Algérie,et bien sûr le génocide de plus de 100000 soldats français musulmans qui auront cru à la parole de la France.
Le president Canié du Front National des Rapatriés rappellera l'histoire de cette Algérie moderne ainsi que le martyre de Claude Piegt, du sergent légionnaire Dovecar et du lieutenant Degueldre, héros de la 2e guerre mondiale et d'Indochine qui voulaient rester fidèles à leur parole et connaissaient le sort des Vietnamiens abandonnés à leur sort entre les mains des Viets.
Cette cérémonie sera conduite par Mr Botella en présence de très nombreux porte drapeaux parachutistes, légionnaires, chasseurs alpins, commandos marine de l'Union Nationale des Combattants Alpes Chartreuse, et infanterie coloniale avec les présidents Pierre Chauvet et Jean Marc Hodebourg et le cnel Machu, les emblèmes de l'Adimad et FNR Sud avec leurs dirigeants sur fond de Marseillaise et du chant des Africains
Le Souvenir Français dont le drapeau porté par Clara, fille de légionnaire était également présent.
Le cercle Algérianiste avec son président François Colinet et sa secrétaire F.Diaz représentaient leurs nombreux adhérents.
"Le soldat n est pas un homme de violence.Il porte les armes et risque sa vie pour des fautes qui ne sont pas les siennes. Son mérite est d'aller sans faillir au bout de sa parole, tout en sachant qu'il est voué à l'oubli.
Antoine de Saint Exupery
Texte P. Chauvet / Photos F. Diaz