Source : Jeune Afrique
Mais les mailles du filet sont très larges et la mer de sable immense...
Le couple Valls, Taubira nous mène au chaos !
Chère Madame, Cher Monsieur, Jeudi dernier, deux policiers, pères de famille, ont été tués sauvagement par un multirécidiviste qui roulait sans permis dans une voiture de luxe. Tous les médias en ont parlé. Mais ce qu'ils ont oublié de dire, c'est que ce type d'affaire arrive tous les jours. Prenez le jour qui a suivi le drame, le vendredi 22 décembre :
Et je ne vous parle pas de ce qui s'est passé dimanche 24 février à Mulhouse, où des adolescents ont cherché à tuer des policiers en leur lançant des cocktails molotovs ! À chaque fois, ces crimes sont commis par des individus « bien connus des services de police », et bien vite relâchés par la justice. Malamine Traoré, qui conduisait le 4X4 Range Rover qui a tué les deux policiers jeudi dernier, avait déjà été condamné 8 fois par la justice. Mais à chaque fois, ou presque, il a eu droit à un « sursis » ou à une « mise à l'épreuve ». Chaque jour, les policiers et les gendarmes risquent leur vie à arrêter et à ré-arrêter des multirécidivistes qui ne devraient pas être en liberté. Mais il n'y a pas que les forces de l'ordre qui sont en première ligne : Tous les jours en France, on compte :
Vous avez bien lu : ces exactions ont lieu toutes les 24 heures. Et savez-vous quelle est la solution proposée par la ministre de la Justice, Christiane Taubira, pour faire cesser ce massacre ? Elle a demandé :
Alors si, comme moi, vous refusez de telles mesures, merci de participer maintenant à notre grand référendum pour la justice en cliquant ici et, si vous l'avez déjà fait, d'envoyer ce message d'urgence à tous vos contacts. Nous avons peu de temps : Christiane Taubira est en train de préparer la loi la plus laxiste de ces 40 dernières années et nous devons être des millions à nous y opposer dès maintenant. Je compte sur vous pour agir en participant à ce grand référendum. Laurence Havel |
Source : Jeune Afrique
C''est devant tous les cadres et les nombreuses sections de l'UNC Dauphiné que fut rappelé dans le rapport moral toutes les actions entreprises en 2012 afin de commémorer le 50 ème anniversaire de l'indépendance de l'Algérie.
- exposition la guerre d'Algérie « une exigence de vérité » en association avec le Cercle Algérianiste qui présentait une superbe exposition photographique de l'artiste Elisa Cornu sur le thème des harkis, sous le parrainage du général Meyer en relation avec le syndicat d'initiative de Grenoble , dans les superbes casemates des fortifications Vauban de la Bastille mises à notre disposition par le Syndicat d’Initiative.
- la même exposition à Meylan sous le parrainage des décorés de la Légion d'Honneur au péril de leur vie avec leur Président le colonel Noel.
- la même exposition à Fort Barraux sous le parrainage du Président des résistants internés et déportés de l'Isère, Pierre Gascon. En association avec l'UNC73 et les officiers de Cherchell , accompagnée d'une conférence de Roland Daporta sur les bâtisseurs de l'Algérie.
-- Un colloque en association avec l’IEP Grenoble et ses enseignants ,sur le campus ,sous le parrainage de Nora Bera fille de tirailleurs algériens, ancienne ministre et quinze intervenants de niveau national dont le Général Kervizic, Président de l'UNC
Tous les enregistrements de ces interventions sont sur internet.
Lors de ces expositions, le colonel Martin présentait une conférence sur l'Armée d'Afrique
- le prêt de l'exposition Guerre d'Algérie au cercle algérianiste de Valence pendant quinze jours
- La visite de centre de commandement de la légion étrangère à Aubagne
Réunion d'arrondissement
Les dirigeants de l'UNC UDC de l'arc alpin étaient les animateurs de cette réunion et le Président Régional Hubert Bornens refit l'historique des péripéties qui avaient accompagné le choix de la date du sinistre 19 mars , cette commémoration ne serait jamais appliquée par l'UNC ainsi que par les 50 organisations combattantes représentant 1 250 000 anciens combattants.
La justification en sera bientôt expliquée au Préfet de l'Isère
Mémoire
Toutes les actions locales et nationales furent évoquées , dont les projets concernant les opérations extérieures,
Avenir de notre mouvement
C'est un avenir optimiste , les actions en direction des Opérations extérieures portant leurs fruits et développant les effectifs dans tout l"arc alpin, incitant à la confiance et la détermination.
Une minute de silence fut ensuite observée au profit des soldats français tombés au Mali et pour les fonctionnaires de la BAC lâchement assassinés.
Les opérations de guerre qui se déroulent au Mali ont pour premier mérite d’arracher certains de nos responsables politiques aux délices de l’idéologie pour les ramener aux dures réalités.
Souhaitons que cet engagement militaire prévisible éclaire les membres de la commission du Livre blanc et les conduise à rejeter certaines conceptions a priori qui avaient valeur de dogme chez nombre d’entre eux. Les faits sont têtus.
Politique
Malgré ses déclarations initiales, le président de la République a accepté d’engager dans l’urgence, en première ligne et au sol les forces françaises sans attendre les forces africaines. L’ennemi composé de deux colonnes de 100 pick-up qui allaient s’emparer de Bamako a contraint la France à agir. Il ne pouvait en être autrement.
Quel président français aurait pu laisser les djihadistes islamistes capturer 6 000 otages de nationalité française dans le sud Mali ? La décision du président de la République s’est imposée. Elle a balayé du même coup la doctrine non interventionniste.
Armée
Elle a montré toutes les qualités qu’on est en droit d’attendre d’une armée d’excellence : disponibilité immédiate de l’ensemble des composantes Terre, Mer, Air et organismes interarmées, loyauté absolue d’une armée professionnelle envers le pouvoir politique, aptitude remarquable des états-majors à combiner des forces de natures très différentes et des moyens logistiques étrangers à plus de 5 000 km de la métropole, à les engager offensivement et par surprise afin de prendre l’ascendant sur l’adversaire et de le contraindre à se replier. Les Français peuvent être fiers de leur armée qui demeure plus que jamais une référence pour la Nation.
Commandement
Cet engagement valide une nouvelle fois la chaîne de décision très courte entre le président de la République, chef des armées, et son conseiller militaire, le chef d’état-major des armées ; le premier conduit la guerre, le second les opérations. La force d’une armée repose sur sa cohérence et sa cohésion. Toutes deux sont liées à l’unité du commandement qui permet de tirer le meilleur parti des ressources humaines et des moyens techniques alloués par le budget de la Défense.
La distinction entre forces de combat et de soutien n’existe qu’en communication politique, mais elle est un non-sens dans les opérations. Comment mener une attaque aérienne sans mécaniciens au sol et sans ravitaillement en vol ? Comment conduire un raid blindé sans livraison préalable de carburant, d’eau et de munitions? Comment combattre dans la durée sans relève par des unités acheminées de métropole grâce aux bâtiments de projection et de commandement (BPC) et aux avions gros porteurs ? Combat et soutien ne font qu’un et doivent être dans la même main.
L’action militaire exige l’unité de commandement tant dans sa conception que dans sa conduite et son soutien. L’accroissement récent des prérogatives du chef d’état-major des armées, qui renforce l’efficacité dans la préparation et l’emploi des forces, se justifie pleinement aujourd’hui. Aussi est-il nécessaire que le ministre de la Défense le valide contre l’avis de certains membres de son cabinet qui voudraient le remettre en cause.
Ministre
Il n’appartient en principe pas au ministre de la Défense de s’impliquer directement dans le déroulement des opérations. Il doit veiller en revanche à ce que notre armée dispose demain des ressources financières suffisantes pour maintenir ses capacités et combler les lacunes constatées. N’oublions pas que l’armée qui fait actuellement la guerre au Mali s’est construite au cours des 15 dernières années. Il revient donc au ministre et à ses collaborateurs de préparer celle de demain.
Les armées africaines
Les militaires français savent qu’il faut des années et non quelques semaines pour construire ou reconstruire une armée. En Europe, nos cadres sont les plus à même de faire ce travail de formation. Il s’agit là d’un investissement indispensable mais de long terme qui implique aussi de disposer de bases permettant à nos unités de s’entraîner avec les forces africaines.
La France conserve sur ce continent une très bonne expertise et y bénéficie, quoi qu’en pensent certains idéologues, d’une excellente image. Les pays d’Afrique francophone savent ce qu’ils doivent à la France et vérifient chaque jour que notre pays est bien plus respectueux de leur identité que la Chine ou les Etats-Unis.
L’Europe
Les pays européens, à de rares exceptions, ne souhaitent pas s’engager militairement au Mali. D’ailleurs la plupart de leurs unités ne connaissent ni l’Afrique ni les Africains.
C’est l’occasion de s’interroger sur le concept de défense européenne car nul doute que l’armée française, agissant seule sur le terrain, est infiniment plus efficace qu’une coalition.
En revanche, l’Europe devrait disposer de capacités aériennes de projection stratégique (avions gros porteurs) que chaque nation peut difficilement s’offrir. Elle pourrait aussi financer cette opération de stabilisation du Sahel, qui participe directement à sa sécurité et à celle de ses ressortissants.
A l’heure où des choix essentiels vont être faits pour notre défense, l’opération SERVAL est venue rappeler opportunément que notre sécurité et nos intérêts se jouent maintenant dans cette région du monde. Le terrorisme islamiste, les problèmes migratoires liés au sous-développement économique de peuples dont la démographie explose et notre approvisionnement en matières premières stratégiques constituent des défis prioritaires à relever. Ils exigent des capacités militaires complètes et cohérentes si notre pays veut demeurer indépendant et conserver son influence dans le monde.
Rédaction de l’ASAF - (www.asafrance.fr)
Ce légionnaire tué est le sergent-chef Harold Vormezeele, âgé de 33 ans, a précisé le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, dans un communiqué. "Sous-officier de la section de commandos parachutistes du 2e régiment étranger de parachutistes (REP) de Calvi, Harold Vormezeele a été tué lors de combats menés contre des groupes terroristes à 50 km au sud de Tessalit." L'accrochage au cours duquel il a été mortellement atteint est survenu mardi "peu avant 11 heures", selon le site du ministère de la Défense.
Le sergent-chef Harold Vormezeele, tué au Mali le 19 février 2013.
(- / SIRPA)
Harold Vormezeele, d'origine belge, avait été naturalisé français en 2010. Il s'était engagé dans la Légion étrangère en février 1999, selon les éléments de biographie fournis dans la soirée par la Défense. Il avait été formé au 4e régiment étranger de Castelnaudary, puis avait intégré le 2e REP en qualité de grenadier voltigeur, rejoignant plus tard la section des commandos parachutistes.
Le sergent-chef avait servi en Bosnie-Herzégovine en 2000, au Gabon en 2001, à Djibouti en 2001 et 2011. Il avait aussi été envoyé en mission en Nouvelle-Calédonie en 2003, en Côte d'Ivoire en 2006, en République Centrafricaine en 2007 et enfin avait servi en Afghanistan en 2008, 2010 et 2011.
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Michel DESTOT
Maire de Grenoble
Député de l'Isère
Albert MILLET
Délégué Général
du Souvenir Français
pour le département de l'Isère
vous prient de bien vouloir assister à
la cérémonie en hommage à
André ESPRIT
Elève-officier grenoblois de l'Ecole Militaire de Cherchell
mort au combat le 8 mars 1962
le vendredi 8 mars 2013 à 15 heures
Cimetière Saint-Roch
2, rue du Souvenir
SR carré ½ agrandissement 1899 numéro 452 droite
en présence de
Ceux de Cherchell
Au cours de cette cérémonie,
une plaque à sa mémoire sera dévoilée
Porte drapeaux souhaités à 14 heures 30 - entrée Cimetière Saint-Roch
Voir
INACCEPTABLE !!!!
Communiqué de presse de l’association harkis et droits de l’Homme :
Jean-Pierre Elkabbach recevait Jeannette Bougrab, vendredi 15 février 2013, pour son émission "Bibliothèque Médicis" sur la chaine parlementaire Public Sénat.
Lors de cette émission, Jean-Pierre Elkabbach a interpellé Jeannette Bougrab en déclarant "Les harkis ont été scandaleusement traités en France et en Algérie, mais vous pouvez pas reconnaître qu'il y avait quand même quelques raisons".
Ainsi, le journaliste justifie les exactions, les massacres de harkis en Algérie, leur abandon et leur accueil indigne en France puis leur enfermement dans les camps.
L'association harkis et droits de l'Homme estime que ces propos sont scandaleux et demande la démission de Jean-Pierre Elkabbach.
Fatima Besnaci-Lancou
Tel 06 68 00 61 34
Présidente de l'association harkis et droits de l'Homme