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La Guerre d'Algérie

1 mars 2013 5 01 /03 /mars /2013 07:46

Le couple Valls, Taubira nous mène au chaos !

 

Chère Madame, Cher Monsieur,

Jeudi dernier, deux policiers, pères de famille, ont été tués sauvagement par un multirécidiviste qui roulait sans permis dans une voiture de luxe.

Tous les médias en ont parlé. Mais ce qu'ils ont oublié de dire, c'est que ce type d'affaire arrive tous les jours.

Prenez le jour qui a suivi le drame, le vendredi 22 décembre :

  -  à Nîmes, des policiers de la BAC ont échappé de peu à un bain de sang lors d'une fusillade. Prévenus du comportement suspect de deux individus, les policiers se sont retrouvés face à deux hommes, armés jusqu'aux dents, en plein quartier résidentiel et ont été mis en joue par l'un des malfrats [1].
   
  -  à Perpignan, une course-poursuite avec un individu qui essayait de cambrioler une pharmacie aurait pu virer au drame. Le malfaiteur poursuivi a volontairement percuté un véhicule de police dans un premier temps puis carrément foncé sur d'autres policiers qui tentaient de l'intercepter [2].
   
  -   à Montpellier, un adolescent de 15 ans (!), bien connu des services de police, fonçait lui aussi au volant d'une voiture sur des policiers. Les malheureux ont à peine eu le temps de se réfugier dans leur voiture. L'adolescent n'a été arrêté que le lendemain au même endroit pour un vol de portable[3]...

Et je ne vous parle pas de ce qui s'est passé dimanche 24 février à Mulhouse, où des adolescents ont cherché à tuer des policiers en leur lançant des cocktails molotovs !

À chaque fois, ces crimes sont commis par des individus « bien connus des services de police », et bien vite relâchés par la justice.

Malamine Traoré, qui conduisait le 4X4 Range Rover qui a tué les deux policiers jeudi dernier, avait déjà été condamné 8 fois par la justice. Mais à chaque fois, ou presque, il a eu droit à un « sursis » ou à une « mise à l'épreuve ».

Chaque jour, les policiers et les gendarmes risquent leur vie à arrêter et à ré-arrêter des multirécidivistes qui ne devraient pas être en liberté.

Mais il n'y a pas que les forces de l'ordre qui sont en première ligne :

Tous les jours en France, on compte :

  -  11 000 vols
  -  1 780 agressions
  -  264 viols et tentatives de viols

Vous avez bien lu : ces exactions ont lieu toutes les 24 heures.

Et savez-vous quelle est la solution proposée par la ministre de la Justice, Christiane Taubira, pour faire cesser ce massacre ?

Elle a demandé :

  -  que les récidivistes soient sanctionnés moins sévèrement encore, avec la suppression des « peines plancher »
   
  -  que les délinquants endurcis soient encore moins souvent envoyés en prison qu'aujourd'hui et bénéficient d'une nouvelle « mise à l'épreuve »
   
  -  que les mineurs délinquants récidivistes soient traités de manière encore plus laxiste par la suppression du « tribunal correctionnel pour mineurs »

Alors si, comme moi, vous refusez de telles mesures, merci de participer maintenant à notre grand référendum pour la justice en cliquant ici et, si vous l'avez déjà fait, d'envoyer ce message d'urgence à tous vos contacts.

Nous avons peu de temps : Christiane Taubira est en train de préparer la loi la plus laxiste de ces 40 dernières années et nous devons être des millions à nous y opposer dès maintenant.

Je compte sur vous pour agir en participant à ce grand référendum.

Laurence Havel
Secrétaire nationale de l'Institut pour la Justice

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28 février 2013 4 28 /02 /février /2013 14:14

2013-ValAct-3978-valise-cercueil-Japon.jpeg

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27 février 2013 3 27 /02 /février /2013 18:41

 

Le député-maire UMP de Nice Christian Estrosi a annoncé aujourd'hui qu'il ne pavoiserait pas les bâtiments publics de Nice le 19 mars, jour du cessez-le-feu de la guerre d'Algérie au lendemain des accords d'Evian de 1962.

Une loi du 6 décembre a institué le 19 mars comme "journée nationale du souvenir et du recueillement à la mémoire des victimes civiles et militaires de la guerre d'Algérie et des combats en Tunisie et au Maroc".

Christian Estrosi a réuni aujourd'hui de nombreuses associations de rapatriés d'Algérie et d'anciens combattants pour leur annoncer son rejet de cette commémoration, qu'il considère comme "un déni de vérité", ajoutant que le 19 mars 1962 avait marqué "le début d'un calvaire" pour les harkis.

Une circulaire du préfet des Alpes-Maritimes a demandé cette semaine aux maires "le pavoisement des bâtiments et des édifices publics" le 19 mars. Elle évoque aussi l'organisation d'une cérémonie au chef-lieu du département.

"Je ne me plierai pas aux recommandations de cette circulaire et que la ville soit pavoisée. De la même manière, aucune cérémonie ne sera organisée dans la ville le 19 mars", a déclaré le maire de Nice devant un public conquis.

"La signature des accords d'Evian, respectés unilatéralement par la France, marqua le début d'enlèvements et du massacre de plus de trois mille civils européens et soixante mille harkis", a-t-il souligné.
 
GRAND BRAVO !
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26 février 2013 2 26 /02 /février /2013 10:32
 
 
Face au repli des jihadistes, Algérie, Mauritanie, Burkina Faso, Niger et Sénégal ont annoncé avoir pris des mesures pour sécuriser leurs frontières respectives avec le Mali.
Depuis le début de la crise au Mali, la sécurisation des frontières est l’une des priorités des cinq pays qui l’entourent. Ciblés par des frappes aériennes françaises, la plupart des combattants d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), d’Ansar Eddine (Défenseurs de l’Islam) et du Mouvement pour l’unicité et le jihad en Afrique de l’Ouest (Mujao) ont quitté les grandes villes du Nord-Mali qu’ils contrôlaient depuis neuf mois. Et risquent évidemment de franchir les frontières poreuses avec les pays voisins.
Algérie, Mauritanie, Burkina Faso, Niger et Sénégal ont ainsi annoncé la mise en place de nouvelles mesures. En fermant leurs frontières, les deux premiers espèrent réduire les déplacements et les trafics frontaliers. Mais l’attaque terroriste contre le site gazier d’In Amenas (Algérie) est venue brutalement rappeler à quel point il était difficile de surveiller ces milliers de kilomètres désertiques.
Dans chacun des pays voisins du Mali, des éléments jihadistes, difficilement identifiables, peuvent se mêler aux réfugiés qui affluent dans les camps. Au Niger, deux éléments du Mujao ont été récemment arrêtés dans la région Tillaberi.
Algérie-Mali (1300 km)
Depuis le début de la crise malienne, un plan sécuritaire a été élaboré. Près de 10 000 hommes (soit dix-sept bataillons) patrouillent le long des frontières australes avec la Libye et le Mali, que des avions de chasse survolent régulièrement. Les douaniers sont désormais armés, tandis que la gendarmerie s’est dotée d’hélicoptères. De nouveaux commandements régionaux ont également été installés à Tamanrasset et à Ouargla.
L’Algérie a, par ailleurs, signé, mercredi 30 janvier, un accord de coopération avec le Royaume-Uni visant à renforcer la sécurisation de sa frontière avec le Mali. Fermé depuis le 14 janvier, ce véritable « no man’s land » essentiellement désertique est doté de deux points de passage. Celui de Bordj Badji Mokthar (14 km de El Khalil, première localité malienne distante de 100 kilomètres de Tessalit et d’environ 150 kilomètres d’Aguelhok) a été déclaré zone militaire depuis plusieurs mois. Des éléments du Mujao s’y seraient repliés le 24 décembre, selon un communiqué du MNLA. L’autre poste se trouve à Tinzaouatine.
Mauritanie-Mali (2240 km)
L’armée mauritanienne s’est déployée « le long des zones limitrophes des combats, en vue de mieux sécuriser et de boucler ses frontières », a indiqué à l’AFP une source militaire. «Des renforts ont également été envoyés dans la zone comprise entre Bassikounou (Sud-Est) et Kobenni (plus à l'Ouest), tandis que notre aviation multiplie les sorties de surveillance et de contrôle», ajoute cette source.  Les régions frontalières avec le Mali ont été placées sous le statut de « zones militaires » et sont maintenant sous le contrôle de l’armée, qui délivre seule les autorisations d’entrée et de sortie. Le nombre de soldats réquisitionnés n’a pas été communiqué.
Frappée à plusieurs reprises par des attaques terroristes, la Mauritanie avait mis en place en 2010 une nouvelle politique de contrôle, à travers la création de corridors sécuritaires. 48 postes frontaliers avaient alors été créés.
Niger-Mali (800 km)
Le Niger a procédé au déploiement progressif de 5 000 hommes. Au Nord-Ouest, ces éléments sont venus renforcer les effectifs de la gendarmerie nationale présents dans les postes avancés le long de la frontière (Ayorou, Tiloa, Abala) et sur les routes en direction du Mali. L’armée s’est positionnée plus au Nord dans la région de Tahoua, une zone stratégique connue pour abriter « la route de la drogue », un couloir emprunté par les trafiquants de la région. Des troupes sont également présentes autour de la zone montagneuse de l’Aïr. Plus à l’Est, l’attention est portée sur la frontière avec la Libye au niveau des postes avancés de Madama et de Dirkou, deux oasis situées le long du Ténéré, le « désert des déserts ». Dans le même temps, le Niger a accepté que les États-Unis déploient sur son territoire des drones de surveillance du Sahara, et plus précisément du Nord-Mali. Ils seront postés dans le nord du pays, dans la région désertique d'Agadez, à la frontière avec le Mali, l'Algérie et la Libye.
Une campagne de sensibilisation est également menée auprès des chefs traditionnels et des oulémas des villages limitrophes, sur les risques de voir des éléments jihadistes se mêler aux populations.
Burkina Faso-Mali (1000 km)
Le président Blaise Compaoré a annoncé que 1000 hommes seraient mobilisés dans la zone frontalière avec le Mali. La mise en place de ces troupes, décidée en octobre 2012, s’est accélérée avec le lancement de l’opération Serval. Le déploiement du Groupement des forces anti-terroristes (GFAT) s’est concrétisé (600 hommes ont été envoyés) et ses attributions ont été précisées. Le GFAT effectue des missions de reconnaissance et des patrouilles. L’attention est particulièrement portée sur une ligne allant de Djibo (localité située à 200 km au nord de Ouagadougou près du Mali) à Dori (Nord-Est). Pour compléter le dispositif, des polices de proximité ont également été mises en place dans les villes du nord du pays. Des membres des services de renseignement sont présents dans les différents camps de réfugiés.
Sénégal-Mali (419 km)
Le dispositif sécuritaire a été renforcé aux frontières malienne et mauritanienne. Au total, d’après une source militaire, « 500 à 600 éléments » ont été envoyés dans des zones sensibles, comme celles des ponts de Gouloumbou (centre) et Kidira (Est). Selon le colonel Insa Sagna, commandant dans cette dernière région, il s’agit essentiellement d’une « intensification des patrouilles motorisées le long de la frontière » avec le Mali.            
Source : Jeune Afrique
NDLR FNCV : Pendant que les forces françaises et maliennes progressent et exécutent le ratissage en direction du Nord, les pays frontaliers, tous alliés, ont tendu leurs filets pour assurer le bouclage.
Mais les mailles du filet sont très larges et la mer de sable immense...
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23 février 2013 6 23 /02 /février /2013 20:45

 

Voir l'album photos

 

 

 

C''est devant tous les cadres et les nombreuses sections de l'UNC Dauphiné que fut rappelé dans le rapport moral  toutes les  actions entreprises en 2012  afin de commémorer le 50 ème anniversaire de l'indépendance de l'Algérie.

 

-          exposition la guerre d'Algérie « une exigence de vérité » en association avec le Cercle Algérianiste  qui présentait une superbe exposition photographique de l'artiste Elisa Cornu sur le thème des harkis, sous le parrainage du général Meyer en relation avec le syndicat d'initiative de Grenoble , dans les superbes casemates des fortifications Vauban de la Bastille mises à notre disposition par le Syndicat d’Initiative.

 -          la même exposition  à Meylan sous le parrainage des décorés de la Légion d'Honneur au péril de leur vie avec leur Président le colonel Noel.

 -          la même exposition à Fort Barraux sous le parrainage du Président des résistants internés et déportés  de l'Isère,  Pierre Gascon. En association avec l'UNC73 et les officiers de Cherchell , accompagnée d'une conférence de Roland Daporta sur les bâtisseurs de l'Algérie.

 

 --          Un colloque en association avec l’IEP Grenoble et ses enseignants ,sur le campus ,sous le parrainage de Nora Bera fille de tirailleurs algériens, ancienne ministre et quinze intervenants de niveau national dont le Général Kervizic, Président de l'UNC

Tous les enregistrements de ces interventions sont sur internet.

 Lors de ces expositions, le colonel Martin présentait une conférence sur l'Armée d'Afrique

 -          le prêt de l'exposition  Guerre d'Algérie au cercle algérianiste de Valence pendant quinze jours

 -          La visite de centre de commandement de la légion étrangère à Aubagne

 

Réunion d'arrondissement

 Les dirigeants de l'UNC UDC de l'arc alpin étaient les animateurs de cette réunion  et le Président  Régional Hubert Bornens refit l'historique des péripéties qui avaient accompagné le choix de la date du  sinistre 19 mars  , cette commémoration ne serait jamais appliquée par l'UNC ainsi que  par les 50 organisations combattantes représentant 1 250 000 anciens combattants.

La justification en sera bientôt expliquée au Préfet de l'Isère

 Mémoire

Toutes les actions locales et nationales furent évoquées , dont les projets concernant les opérations extérieures,

 Avenir de notre mouvement

C'est un avenir optimiste , les actions en direction des Opérations extérieures portant leurs fruits et développant les effectifs dans tout l"arc alpin, incitant à la confiance et la détermination.

 

Une minute de silence fut ensuite observée au profit des soldats français tombés au Mali  et pour les fonctionnaires de la BAC lâchement assassinés.

 

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22 février 2013 5 22 /02 /février /2013 21:38

 

 

Les opérations de guerre qui se déroulent au Mali ont pour premier mérite d’arracher certains de nos responsables politiques aux délices de l’idéologie pour les ramener aux dures réalités.

Souhaitons que cet engagement militaire prévisible éclaire les membres de la commission du Livre blanc et les conduise à rejeter certaines conceptions a priori qui avaient valeur de dogme chez nombre d’entre eux. Les faits sont têtus.

Politique

Malgré ses déclarations initiales, le président de la République a accepté d’engager dans l’urgence, en première ligne et au sol les forces françaises sans attendre les forces africaines. L’ennemi composé de deux colonnes de 100 pick-up qui allaient s’emparer de Bamako a contraint la France à agir. Il ne pouvait en être autrement.

Quel président français aurait pu laisser les djihadistes islamistes capturer 6 000 otages de nationalité française dans le sud Mali ? La décision du président de la République s’est imposée. Elle a balayé du même coup la doctrine non interventionniste.

Armée

Elle a montré toutes les qualités qu’on est en droit d’attendre d’une armée d’excellence : disponibilité immédiate de l’ensemble des composantes Terre, Mer, Air et organismes interarmées, loyauté absolue d’une armée professionnelle envers le pouvoir politique, aptitude remarquable des états-majors à combiner des forces de natures très différentes et des moyens logistiques étrangers à plus de 5 000 km de la métropole, à les engager offensivement et par surprise afin de prendre l’ascendant sur l’adversaire et de le contraindre à se replier. Les Français peuvent être fiers de leur armée qui demeure plus que jamais une référence pour la Nation.

Commandement

Cet engagement valide une nouvelle fois la chaîne de décision très courte entre le président de la République, chef des armées, et son conseiller militaire, le chef d’état-major des armées ; le premier conduit la guerre, le second les opérations. La force d’une armée repose sur sa cohérence et sa cohésion. Toutes deux sont liées à l’unité du commandement qui permet de tirer le meilleur parti des ressources humaines et des moyens techniques alloués par le budget de la Défense.

La distinction entre forces de combat et de soutien n’existe qu’en communication politique, mais elle est un non-sens dans les opérations. Comment mener une attaque aérienne sans mécaniciens au sol et sans ravitaillement en vol ? Comment conduire un raid blindé sans livraison préalable de carburant, d’eau et de munitions? Comment combattre dans la durée sans relève par des unités acheminées de métropole grâce aux bâtiments de projection et de commandement (BPC) et aux avions gros porteurs ? Combat et soutien ne font qu’un et doivent être dans la même main.

L’action militaire exige l’unité de commandement tant dans sa conception que dans sa conduite et son soutien. L’accroissement récent des prérogatives du chef d’état-major des armées, qui renforce l’efficacité dans la préparation et l’emploi des forces, se justifie pleinement aujourd’hui. Aussi est-il nécessaire que le ministre de la Défense le valide contre l’avis de certains membres de son cabinet qui voudraient le remettre en cause.

Ministre

Il n’appartient en principe pas au ministre de la Défense de s’impliquer directement dans le déroulement des opérations. Il doit veiller en revanche à ce que notre armée dispose demain des ressources financières suffisantes pour maintenir ses capacités et combler les lacunes constatées. N’oublions pas que l’armée qui fait actuellement la guerre au Mali s’est construite au cours des 15 dernières années. Il revient donc au ministre et à ses collaborateurs de préparer celle de demain.

Les armées africaines

Les militaires français savent qu’il faut des années et non quelques semaines pour construire ou reconstruire une armée. En Europe, nos cadres sont les plus à même de faire ce travail de formation. Il s’agit là d’un investissement indispensable mais de long terme qui implique aussi de disposer de bases permettant à nos unités de s’entraîner avec les forces africaines.

La France conserve sur ce continent une très bonne expertise et y bénéficie, quoi qu’en pensent certains idéologues, d’une excellente image. Les pays d’Afrique francophone savent ce qu’ils doivent à la France et vérifient chaque jour que notre pays est bien plus respectueux de leur identité que la Chine ou les Etats-Unis.

L’Europe

Les pays européens, à de rares exceptions, ne souhaitent pas s’engager militairement au Mali. D’ailleurs la plupart de leurs unités ne connaissent ni l’Afrique ni les Africains.

C’est l’occasion de s’interroger sur le concept de défense européenne car nul doute que l’armée française, agissant seule sur le terrain, est infiniment plus efficace qu’une coalition.

En revanche, l’Europe devrait disposer de capacités aériennes de projection stratégique (avions gros porteurs) que chaque nation peut difficilement s’offrir. Elle pourrait aussi financer cette opération de stabilisation du Sahel, qui participe directement à sa sécurité et à celle de ses ressortissants.

A l’heure où des choix essentiels vont être faits pour notre défense, l’opération SERVAL est venue rappeler opportunément que notre sécurité et nos intérêts se jouent maintenant dans cette région du monde. Le terrorisme islamiste, les problèmes migratoires liés au sous-développement économique de peuples dont la démographie explose et notre approvisionnement en matières premières stratégiques constituent des défis prioritaires à relever. Ils exigent des capacités militaires complètes et cohérentes si notre pays veut demeurer indépendant et conserver son influence dans le monde.

Rédaction de l’ASAF - (www.asafrance.fr)

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19 février 2013 2 19 /02 /février /2013 21:44

Qui était ce soldat ?

Ce légionnaire tué est le sergent-chef Harold Vormezeele, âgé de 33 ans, a précisé le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, dans un communiqué. "Sous-officier de la section de commandos parachutistes du 2e régiment étranger de parachutistes (REP) de Calvi, Harold Vormezeele a été tué lors de combats menés contre des groupes terroristes à 50 km au sud de Tessalit." L'accrochage au cours duquel il a été mortellement atteint est survenu mardi "peu avant 11 heures", selon le site du ministère de la Défense.

Le sergent-chef Harold Vormezeele, tué au Mali le 19 février 2013.

Le sergent-chef Harold Vormezeele, tué au Mali le 19 février 2013.

(- / SIRPA)

 

Harold Vormezeele, d'origine belge, avait été naturalisé français en 2010. Il s'était engagé dans la Légion étrangère en février 1999, selon les éléments de biographie fournis dans la soirée par la Défense. Il avait été formé au 4e régiment étranger de Castelnaudary, puis avait intégré le 2e REP en qualité de grenadier voltigeur, rejoignant plus tard la section des commandos parachutistes.

Le sergent-chef avait servi en Bosnie-Herzégovine en 2000, au Gabon en 2001, à Djibouti en 2001 et 2011. Il avait aussi été envoyé en mission en Nouvelle-Calédonie en 2003, en Côte d'Ivoire en 2006, en République Centrafricaine en 2007 et enfin avait servi en Afghanistan en 2008, 2010 et 2011.

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19 février 2013 2 19 /02 /février /2013 17:21

Propos du général Lalane-Berdouticq,

 

 

Le discours que nous reproduisons ci-dessous a été prononcé par le général

 Lalanne-Berdouticq (ancien commandant du 3ème régiment étranger d’Infanterie et ancien chef du bureau de liaison de la Force intérimaire des Nations Unies au Liban – FINUL 2), lors de la clôture d'une récente session de l'IHEDN.

 

C'est la vision d'un stratège éclairé, libre de tout dogme et de toute entrave intellectuelle, raisonnablement optimiste mais terriblement inquiet aussi de la lente dérive de son pays.

 

Après ces dix-huit jours inoubliables à travailler ensemble, à vous forger des amitiés dont certaines seront définitives, à voir les choses différemment, voici ce que, comme votre « entraîneur » et un peu « ouvreur de voie », je voudrais vous dire. En toute liberté bien sûr et avec mon franc-parler habituel !

 

  Le monde est complexe et dangereux

 

Il est loin des « blocs » que nous avons connus des décennies durant, aussi bien que de la « fin de l’histoire » que l’on nous annonçait voici vingt ans, et encore plus loin de la « paix définitive » qui aurait permis « d’engranger les dividendes de la paix » chers à des hommes à la courte vue.

Ce monde, notre monde, reste dangereux. Comme les prophètes que personne n’écoutait dans les années 1930, je ne cesse de dire que le décuplement des dépenses militaires en Extrême-Orient depuis dix ans devrait nous inciter à mieux surveiller les diminutions insensées que subissent les nôtres. Dans l'Histoire en effet les mêmes causes produisent les mêmes effets et il y a donc tout à craindre des abandons qui se produisent chez nous.

Mais encore faudrait-il voir le monde comme il est et non comme beaucoup voudraient qu’il soit.

Méfions-nous du « prêt à penser »

 

Il est presque toujours faux et ordonné à des fins peu recommandables.

Non  le Kosovo n’est pas meilleur après la campagne qu’y ont conduite les alliés en 1999, montée suite à une incroyable guerre d’intoxication médiatique diabolisant les Serbes et présentant les Albanophones comme des anges persécutés…

Il en résulta la fondation du premier pays[1] presque totalement mafieux du continent européen, dont la population originelle, serbe, a été sans pitié chassée de chez elle dans le silence des médias ; ses monastères détruits et ses maisons incendiées.

Non l’Afrique d’aujourd’hui ne vit pas mieux que du temps de la colonisation, à commencer parce que l’esclavage (personne ne le dit) et les massacres ethniques sont repartis de plus belle et que bien des Etats officiellement constitués sont en faillite aussi bien financière que politique.

Non la Libye d'aujourd'hui n'est pas meilleure que celle d'hier, puisque au demeurant elle n'existe tout simplement plus, et  que son tyran a été remplacé par d'autres, en plus grand nombre.

Non la démocratie occidentale n’est pas applicable à tous les continents et à tous les pays. D’abord parce que ce n’est pas un système unique (voyez comme la nôtre est différente de celle des Etats-Unis ou d’Israël, ou bien encore de la Grande-Bretagne) ; ensuite parce que ce système politique ne peut s’épanouir qu’au sein de peuples voyant la personne comme un individu et non comme une partie d’un tout (société personnalistes contre sociétés holistiques)…

Dans les grandes questions du monde...

 

...n’oublions jamais de considérer le paramètre démographique. Il est capital et le silence des médias et des analystes sur ces sujets en dit long sur l’aveuglement, qui ne peut qu’être volontaire, de nos élites autoproclamées.

Ainsi, quel est l’avenir de l’Allemagne, qui aura perdu sept millions d’habitants en 2030 et se verra peuplée en grande partie de ressortissants d’origine turque ? Sera-t-elle-la même ?

On sait que l’islam confond la sphère publique et la sphère privée en refusant absolument de distinguer « Dieu » et « César ». Or, cette distinction est à la base même des systèmes démocratiques.

Enfin, oublie-t-on qu’une population peut être chassée de chez elle, ou se voir remplacée par une autre, les autochtones se retrouvant alors comme étrangers sur leur propre sol ?

Sans remonter à la diaspora juive du premier siècle, pensons aux Coptes d’Egypte, aux chrétiens de Turquie et d’Asie (20% de la population en 1900 alors qu’ils sont aujourd’hui 0,02%, soit mille fois moins) ou bien encore aux Serbes du Kosovo, déjà cités (90% de la population en 1900 et moins de 10% aujourd’hui) !

Hors les idéologues, qui peut être assuré qu’en France, nous sommes à l’abri de tels phénomènes ?

Refuser d’examiner la question sous couvert de mots en « isme » est singulièrement irresponsable.

Or, entendons-nous que l’on pose cette question ? Non.

Considérons aussi l’incroyable effondrement démographique de nos voisins Italiens et Espagnols et tentons d’imaginer ces deux pays dans trente ans ! « Il n’est de richesse que d’hommes », dit le proverbe.

Que sera la civilisation occidentale si, dans trois siècles, des touristes visitent nos cathédrales sans que personne ne puisse leur expliquer le sens d’un Christus pentocrator dont ils contempleront la sculpture sur le tympan, ainsi que cela se passe pour les églises de Cappadoce, alors que plus aucun chrétien ne vit aux alentours ?
> > > > > 

Rien n’est définitif dans l’histoire des hommes,  pas plus le tracé des frontières que les peuples qui s’abandonnent et doutent d’eux-mêmes.

Enfin, cessons de nous croire à l’abri des menaces militaires...

 

... au motif que nous possédons d’admirables sous-marins nucléaires.

La guerre est bien de retour et le fracas des combats des Balkans, maintenant assourdi, nous rappelle qu’elle peut s’inviter dans des contrées européennes très proches, et pourquoi pas chez nous ? Qui peut ignorer que si tout le monde (tout le monde, sauf nous !) réarme sur la planète, c’est bien pour quelque raison !

 

Et l’Europe, direz-vous !
> > > > > 

Fort bien, mais l’Europe n’est sur le plan militaire qu’une addition de faiblesses, vous le savez. Ajouter des faiblesses à d’autres faiblesses n’a jamais constitué une force mais bien une faiblesse plus grande encore[2] !

Comme le disait, je crois, Roosevelt au moment de la Grande dépression, puis au début de l’engagement américain dans la 2e guerre mondiale, « Ce que nous devons craindre le plus au monde, c’est la peur elle-même ». Or, l’histoire nous enseigne que les populations qui ont peur de la mort sont celles qui disparaissent de la surface du globe.
> > > > > 

Notre manière « d’évacuer » la mort de la vie sociale est effrayante en elle-même, car un jour ou l’autre nous devrons combattre pour notre vie, et donc la risquer. Ne pas s’y préparer c’est nous assurer de perdre cette vie à coup sûr.
> > > > > 

Cela s’appelle la lâcheté, qui n’a jamais attendri aucun adversaire déterminé ; jamais, bien au contraire.


> > > > > Rappelons-nous avec honte que certaines erreurs peuvent être commises puis recommencées : la République naissante déclara la guerre illégale en 1791 et se trouva en conflit avec l’ensemble de ses voisins deux ans plus tard. En 1928, à la Société des Nations, cet ancêtre de l’ONU, le « Pacte Briand-Kellog » déclara la guerre « criminelle » à la face du monde. Onze ans plus tard aussi bien la France que la Grande-Bretagne étaient acculées à une mobilisation générale dans des conditions désastreuses, pour aboutir à ce que l’on sait : l’occupation de  toute l’Europe sauf la Suisse, et aussi les camps de concentration. Nous n’avions pas voulu lire Mein Kampf, non plus que méditer les pensées de Lénine et voir les camps soviétiques, qui mèneraient l’un à Katyn et l’autre à Treblinka ou Sobibor.

« Le droit sans la force n’est  rien, la force sans le droit c’est la tyrannie » disait à peu près Pascal.

Souvenons-nous-en.
> > > > > 

Enfin, je voudrais insister sur le sens des mots. Discutant avec plusieurs d'entre vous pendant la session j'ai une nouvelle fois constaté que les mots n'avaient souvent pas le même sens pour l'un et pour l'autre. Je pense à un échange récent sur le mot République dont mon partenaire me disait que « Pour lui la république c'était… ».

Or, là est le danger : nous n'avons pas à dire que « Pour nous » un mot veut dire telle chose ; nous devons au contraire nous référer à sa définition exacte sinon plus aucun échange n'est possible.
> > > > > 

Reprenant l'exemple de la République, je lui disais que celle-ci se définit par trois critères et seulement trois : Un gouvernement collégial, qui obéit à des lois, et dont le mode de succession n'est pas dynastique. Un point c'est tout.

La république romaine était-elle démocratique ? Non, mais c'était tout de même une république.

Donc, ne confondons pas les mots les uns avec les autres. Ainsi de la démocratie[3], qui peut parfaitement trouver sa place dans un système monarchique comme en Grande-Bretagne et ainsi de suite.

À notre époque où le dialogue semble érigé à la hauteur de vertu et de principe cardinal des relations sociales, travaillons donc à ce qu’il soit possible au travers de mots employés dans leur juste sens. Nous aurons alors fait un grand pas vers la clarté et de saines relations interpersonnelles.

J'insiste : cette question de la précision du vocabulaire est absolument essentielle si l'on y réfléchit bien.
> > > > > 

En conclusion:
> > > > > 

-Il nous faut chasser l’idéologie, quelle qu’elle soit ; de « droite » ou de « gauche ». C’est une maladie mortelle de l’esprit car elle fait voir la réalité au travers de systèmes d’idées, qui sont autant de lunettes déformantes.
> > > > > 

A l’idéologie il faut opposer le principe de réalité qui veut que les choses soient ce quelles sont, que cela nous plaise ou non. Alors on peut agir en  espérant ne pas trop se tromper.
> > > > > 

Il n’y a pas de bons camps de concentration (cubains, nord-coréens, chinois) dont on ne parle jamais, et de mauvais, les nazis, dont il faut sans cesse se souvenir.

Il y a eu et il y a des camps de concentration où des innocents sont morts et meurent encore dans des conditions atroces.

Il n’y a pas l’antisémitisme, évidemment condamnable, des « néonazis », et sa variété excusable, celle des « islamistes », qui est passée sous silence. Il y a l’antisémitisme (qui d’ailleurs est un antijudaïsme), un point c’est tout.

Au nom de quoi devrait-on condamner « l’islamophobie » si l’on ne le fait pas de la « papophobie » ou de la « christianophobie » ? A-t-on vu un chrétien Chaldéen ou un Melchite se faire sauter dans une mosquée d’Irak ? Un seul ? Dès lors, comment mettre sur le même pied « les » intégrismes ?
> > > > > 

Il existe quand même une différence de nature entre un zélateur d’Al Quaeda et un Mormon, je crois.
> > > > > 

Distinguer souverainement le bien du mal, ne pas mettre à égalité le bon et le mauvais s’appelle aussi : Liberté.
> > > > > 

-Il nous faut être convaincus que la France est et reste une grande puissance. Du moins si elle continue de le décider.

Aujourd'hui, combien de pays ont-ils une représentation diplomatique dans le monde comparable à la nôtre ? Un seul.
> > > > > 

Combien de pays disposent-ils de sous-marins lanceurs d’engins totalement conçus, fabriqués, maîtrisés par leur gouvernement national dans le monde ? Trois, et pas la Grande-Bretagne.
> > > > > 

Combien de pays disposent-ils de porte-avions de premier rang à catapulte avec une flotte aérienne adaptée, moderne et entrainée ? Deux.
> > > > > 

La France est au premier rang de toutes les grandes négociations mondiales, elle dispose d’un siège de membre permanent au Conseil de sécurité de l’ONU, ses avions volent dans tous les cieux de la planète. Elle est au premier rang de la technique, de l’art, de la littérature.
> > > > > 

Elle est au premier rang des pays possédant un patrimoine multiséculaire, admirable et entretenu.
> > > > > 

Elle est au premier rang de certains travaux de recherche, elle inonde une partie du monde de son rayonnement culturel, artistique, commercial, d’influence, et ce depuis neuf siècles sans discontinuer !
> > > > > 

Quand la France parle, on l’écoute, parfois on la jalouse et on la brocarde de temps en temps,  mais on l’écoute et son message est souvent reçu. C’est un fait.
> > > > > 

Cependant… restons modestes et cessons de donner des leçons au monde entier, car, comme d’autres, nous n’avons pas que des qualités. Le blanc de notre drapeau n’est hélas pas immaculé. Nous avons aussi de graves défauts : nous sommes souvent arrogants, légers, hâbleurs, désunis, insupportables.
> > > > > 

Nous voulons répandre les Droits de l’Homme sur le monde, mais nous avons inventé le génocide sous le terme de populicide, puis l’avons mis en œuvre en Vendée en 1793. Nous sommes (avec raison) pour la tolérance religieuse, mais… des Dragonnades de Louis XIV[4] aux « baptêmes républicains » de Carrier à Nantes ou aux lois d’Emile Combes en 1905[5], nous savons aussi persécuter nos concitoyens pour leurs convictions religieuses…
> > > > > 

Cependant et tout bien considéré, soyons fiers de ce que nous sommes, mais avec mesure.
> > > > > 

Soyons fiers de notre héritage multiséculaire, en ayant conscience de ce que nous sommes les « débiteurs insolvables » des richesses léguées par nos ancêtres.

Nous ne pourrons jamais rembourser cette dette, qui nous oblige.

Mais soyons aussi convaincus que cet héritage est fragile et peut s’effondrer en quelques années, voire quelques mois si des événements dramatiques venaient à se produire et auxquels nous n’aurions pas fait face à cause de notre impréparation, de notre inconscience, ou par inconsistance ou imprévoyance.
> > > > > 

Voyez comme s’est écroulé l’Ancien régime en quelque semaines[6], ou encore le tsarisme, le communisme, la Vienne impériale, sans parler des empires romain, moghol, khmer ou aztèque…
> > > > > 

Ce formidable patrimoine, notre patrimoine (matériel et immatériel) est fragile et se trouve entre nos mains.
> > > > > 

Alors restons vigilants et combattons les idées dangereuses pour l’avenir, tout en travaillant d’arrache-pied à l’unité de notre nation, qui en a de jour en jour plus besoin.

Nous savons de mémoire séculaire, depuis Bouvines pour le moins, que la France unie est victorieuse des défis.

Désunie elle se dissout et, qui sait, pourrait disparaître.

Cela ne se doit pas.

Alexandre Lalanne-Berdouticq


> > > > > [1]
Grand comme un département de chez nous : 10 000 km2 et un million d’habitants…

[2] Dix estropiés au départ d’un cent mètres olympique ne feront pas un champion !


> > > > > [3] Dont la caractéristique essentielle est que le siège de la souveraineté se tient « dans la personne du peuple », qui délègue ou non son autorité à des mandataires (démocratie directe ou indirecte).

[4] Contre les Protestants


> > > > > [5] Contre les Catholiques

[6] Il a succombé à des crises multiples et simultanées : économique avec des dettes abyssales et une fiscalité inopérante et injuste, une défiance du peuple dans ses élites qui ne le représentaient plus, l’incapacité du système à se réformer et un pouvoir impuissant qui refusait de voir la réalité. Comparons avec aujourd’hui…

 

 

 

> > > >

 

 

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18 février 2013 1 18 /02 /février /2013 22:46

Michel DESTOT

Maire de Grenoble

Député de l'Isère

 

Albert MILLET

Délégué Général

du Souvenir Français

pour le département de l'Isère

 

vous prient de bien vouloir assister à

la cérémonie en hommage à

 

André ESPRIT

Elève-officier grenoblois de l'Ecole Militaire de Cherchell

mort au combat le 8 mars 1962

le vendredi 8 mars 2013 à 15 heures

 

Cimetière Saint-Roch

2, rue du Souvenir

SR carré ½ agrandissement 1899 numéro 452 droite

 

en présence de

Ceux de Cherchell

 

Au cours de cette cérémonie,

une plaque à sa mémoire sera dévoilée

Porte drapeaux souhaités à 14 heures 30 - entrée Cimetière Saint-Roch

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17 février 2013 7 17 /02 /février /2013 20:37

Voir

 

 

 

 

http://www.publicsenat.fr/lcp/politique/quand-jeannette-bougrab-s-emporte-r-des-harkis-alg-rie-344087

 

 

 

 

INACCEPTABLE !!!!

 

Communiqué de presse de l’association harkis et droits de l’Homme :

   

Jean-Pierre Elkabbach recevait Jeannette Bougrab, vendredi 15 février 2013, pour son émission "Bibliothèque Médicis" sur la chaine parlementaire Public Sénat.

 

 Lors de cette émission, Jean-Pierre Elkabbach a interpellé Jeannette Bougrab en déclarant "Les harkis ont été scandaleusement traités en France et en Algérie, mais vous pouvez pas reconnaître qu'il y avait quand même quelques raisons".

 

 Ainsi, le journaliste justifie les exactions, les massacres de harkis en Algérie, leur abandon et leur accueil indigne en France puis leur enfermement dans les camps.

 

 L'association harkis et droits de l'Homme estime que ces propos sont scandaleux et demande la démission de Jean-Pierre Elkabbach.

 

 Fatima Besnaci-Lancou

 

Tel 06 68 00 61 34

 

   Présidente de l'association harkis et droits de l'Homme 

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