L'histoire de l'Afrique du Nord ...
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http://l.auberge.espagnole.free.fr/hist0000.htm
Un site à écouvrir, ( les oranais apprécieront..)
http://l.auberge.espagnole.free.fr/accueil02.htm#video032
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Le père d'Anne-Lorraine indigné de figurer sur le "Mur des cons" http://www.echo-regional.fr/2013/04/24/le-general-schmitt-indigne-de-figurer-sur-le-mur-des-cons/ Message du général PH. Schmitt Parent de victime, c’est avec stupeur et un profond dégoût que j’ai constaté la présence de ma photo sur le « mur des cons » du Syndicat de la Magistrature, proche du pouvoir. Même si j’ai – et je ne le regrette pas – critiqué les libérations irresponsables de violeurs récidivistes, le laxisme de certains juges d’application des peines, j’estime totalement indécent d’être traité ainsi par ces “ magistrats”, eu égard à notre histoire familiale. Mon seul tort, je l’avoue, est de ne pas me résigner à ce que d’autres enfants subissent le martyre d’Anne – Lorraine ! A travers cet acte, c’est la mémoire de notre fille qu’on insulte, ce sont aussi toutes les familles de victimes qui peuvent ainsi constater le mépris et la haine que ce syndicat de magistrats éprouve à leur égard. Sur ce mur, il n’y a pas de photos de criminels, de violeurs ou de pervers mais il y a les photos de plusieurs pères de victimes. Quelle attitude indigne ! Dès ce soir, j’ai chargé notre avocat, maître DRYE du barreau de Senlis, d’étudier les suites judiciaires à donner à cette lamentable affaire. Quand on sait que les membres de ce syndicat « peuplent » le cabinet du Garde des Sceaux, il y a de quoi s’inquiéter ! Philippe SCHMITT Père d’Anne – Lorraine Assassinée le 25 novembre 2007 par un récidiviste |
CAMERONE 2013
Chers Anciens et Amis,
Bernard ROMBACH, Président de l’Amicale des Anciens Légionnaires de l’Isère.
Bernard EME, Président de l’Amicale des Anciens Légionnaires de Savoie Mont Blanc, les anciens Légionnaires, vous prient de bien vouloir vous joindre à eux, le dimanche 21 avril 2013, au Monument aux Morts d’OYEU, 38690, pour commémorer le 150ème anniversaire du combat de Camerone, en présence de Monsieur le Maire et des Autorités.
La présence des Porte-drapeau des Associations amies nous honorerait.
PROGRAMME DE LA JOURNEE
10h30 : Rassemblement devant l’Église d’Oyeu. (Parking côté cimetière)
10h45 : Aubade « a capella » interprétée par Camille Compostel, en l’église d’Oyeu.
11h15 : Cérémonie au Monument aux Morts.
Lecture du Combat de Camerone et dépôt de Gerbe.
12h00 : Apéritif avec les autorités et les participants. (Parking salle des Fêtes)
12h45 : Déjeuner dansant. MENU
Avocat au crabe
Et son bouquet de crevettes
Cuisses de canard confite
Poêlée de champignons et gratin dauphinois.
Fromages secs ou blancs.
Charlotte aux poires et son coulis de fruits
Café
Vins : Côte du Rhône Rouge A.O.C.
Rosé
Le montant de la participation est de 30 €uro par personne.
(Pour les enfants de moins de 10 ans, menu enfant 10€)
Nous vous attendons nombreux afin de passer ensemble cette journée dans un «Esprit Légion » que nous apprécions tous, en Communion avec tous nos Frères d’Armes, Morts pour la France.
Avec nos Salutations Légionnaires.
Bernard ROMBACH.
115 C rue de la Liberté
38140 RIVES
( : 04 76 91 08 17
Accompagné(s) de Madame, Monsieur :………………………………………
De ………enfants. (Moins de 10 ans, menu enfant)
Participeront au « Déjeuner dansant »
Ci-joint chèque à l’ordre d’A.A.L.E. Isère d’un montant de ……………..Euros.
#………………………………………………………………………………
CAMERONE 2013
Le Président, Bernard ROMBACH, les membres de l’Amicale, vous prient de bien vouloir se joindre à eux, lors de la cérémonie commémorant le 150ème anniversaire du combat de Camerone, le mardi 30 avril, à 18h00, au Monument aux Morts, Parc Paul Mistral, esplanade des Communes Compagnon de la Libération, à Grenoble.
Nous serions très honorés de votre présence ainsi que de celle des Délégations des Associations, accompagnées de leurs porte-drapeaux.
Paris, le 28 mars 2013 |
LE MONDE | 25.03.2013 à 12h36 • Mis à jour le 25.03.2013 à 12h59 Propos recueillis par Nathalie Guibert
Patricia Adam, présidente socialiste de la commission de la défense de l'Assemblée nationale, estime qu'"on ne peut plus descendre" davantage le budget de la défense.
Vous demandez au président de préserver le budget de la défense, comment le convaincre ?
Patricia Adam Nous n'avons jamais été dans une période aussi importante, au regard des options stratégiques du pays à l'horizon des vingt prochaines années. Le retour à l'équilibre des comptes publics est aujourd'hui l'enjeu principal pour le président de la République. Respecter un déficit de 3 % du PIB comme le veut l'Europe est un enjeu stratégique. Mais il faut trouver un bon équilibre : mesurer, s'il doit y avoir des efforts sur la défense, les conséquences que cela peut avoir sur nos capacités à intervenir comme nous le souhaitons (seuls sur une durée courte et "en premier" comme on l'a fait au Mali, ou uniquement avec d'autres alliés), sur l'entraînement de nos forces, et sur notre industrie.
Le scénario de Bercy vise à tuer le ministère de la défense. Dès 2015, si on le suit, il ne lui restera que la sécurité nationale (la gendarmerie), les forces spéciales et la dissuasion. Toutes les forces conventionnelles auront disparu.
Ce n'est pas en tuant le budget de la défense que l'on équilibrera les comptes. Sur ce point, une communion d'idées avec l'opposition règne à la commission de la défense, car l'enjeu est la sauvegarde des intérêts nationaux.
Les députés socialistes ont adressé à François Hollande une lettre pour lui rappeler que le budget de la défense baisse depuis cinquante ans et que si un ministère a fait des efforts de rationalisation, c'est bien celui-là. Le budget représentait 4,3 % du PIB en 1966, 2,97 % en 1981, 1,6 % en 2002, 1,56 % en 2012. On ne peut plus descendre.
La défense a devant elle une "bosse budgétaire" – des commandes qui ne sont pas financées – de 45 milliards d'euros, et il manque 4 milliards sur la loi de programmation 2009-2014. Comment faire ?
Le delta par rapport à la trajectoire financière est impossible à combler, même avec une croissance économique retrouvée importante, à laquelle nous ne pensons pas. Autour de nous, les menaces ne sont pas en diminution, le monde se militarise, et les Etats-Unis n'ont plus la même posture vis-à-vis de l'Europe. Nous demandons au moins le maintien en l'état du budget à 31 milliards d'euros pendant deux à trois ans en volume, en escomptant un rebond de croissance en 2016. La défense peut encaisser deux-trois ans d'apnée, mais pas plus.
Quelles solutions concrètes proposer ?
Nous pouvons encore repousser quelques programmes d'équipement. Les états-majors ont des solutions d'attente et ont fait des propositions d'économies intéressantes. Mais il nous faut des recettes exceptionnelles : elles peuvent venir de la vente des participations de l'Etat dans les groupes industriels de défense, c'est une proposition que nous faisons.
Faut-il sortir la défense de la règle des 3 % ?
La France est le seul pays en Europe avec le Royaume-Uni à continuer à faire un effort de défense. Même si l'on met de côté la dissuasion, cet effort est aussi l'assurance-vie des autres Européens. Nos engagements internationaux, les opérations que nous menons doivent être considérés dans la sécurité collective. La question de l'agrégat retenu pour le calcul du déficit devient essentielle. La question peut être débattue. Nous n'avons pas le choix. C'est un débat entre les pays qui ont la volonté de faire et les autres.
Quel rôle va jouer l'expérience du Mali dans les arbitrages ?
Le président a pris au Mali une décision rapide, en connaissance et en responsabilité. Il a parfaitement conscience de la qualité de son armée, de la formation de ses hommes et de ses capacités, mais aussi de ses manques. Il a aussi conscience de l'importance de la voix de la France au plan international, au conseil de sécurité de l'ONU, vis-à-vis des Américains qui nous apportent leur aide, et face aux Européens.
On ne peut pas vouloir des avancées de l'Europe en matière de défense en baissant la garde. Si nous le faisons, nous envoyons un signal complètement négatif. Compte tenu du point auquel nous sommes arrivés, la seule question à se poser est : que veut-on faire de notre outil de défense ?
Groupement d'intérêt public
"Mission du centenaire de la Première Guerre mondiale 1914 - 2014"
Le président du conseil d'administration.
109, boulevard Malesherbes
75 008 PARIS
09 83 21 00 99
elrick.irastorza@centenaire.org
1914 – 2014 : une dynamique mémorielle puissante est en marche...
Pourquoi commémorer le Centenaire de la Première Guerre mondiale ?
Près d'un siècle après le début de son déclenchement, la Première Guerre mondiale occupe toujours une place à part dans notre mémoire collective.
En témoignent les centaines de milliers de visiteurs qui parcourent chaque année, en famille, entre amis ou dans le cadre d'activités scolaires ces champs de batailles encore mal cicatrisés pour comprendre pourquoi et comment des hommes en sont arrivés à de telles extrémités et pour honorer dans le silence des grandes nécropoles la mémoire des soldats engloutis par cette
"effusion sanglante".
En témoignent également des recherches historiques toujours fécondes et une production culturelle qui continuent de faire de ce conflit matriciel du XXe siècle un champ d'inspiration inépuisable.
Avec du seul côté français, plus de 8 millions de combattants mobilisés, près de 1 400 000 tués dont 71.000 soldats de l'Empire, plus de 4 000 000 de blessés, 700 000 veuves, un million d'orphelins, 3 millions d'hectares de terres agricoles détruites, des centaines de villes et villages ravagées et 350 000 maisons détruites ce conflit aura profondément et durablement marqué notre société dans quasiment tous les domaines. Comprendre ce qu’ont enduré nos sociétés civiles et les bouleversements qui les ont durablement affectés sera donc un des enjeux principaux de ce cycle mémoriel qui devra être bien plus qu’une succession chronologique de cérémonies patriotiques.
Pour la cinquantaine de pays belligérants, il aura été, avec plus de dix millions de morts, une épreuve toute aussi douloureuse, certes fondatrice de souveraineté pour certains mais également annonciatrice de lendemains malheureusement plus terribles encore.
Dès 2014 et pendant plus de quatre ans, les descendants de ces soldats et travailleurs viendront chez nous rechercher les traces de l'engagement de leurs aïeux et honorer leur sacrifice. La France devra mettre un point d'honneur à les accueillir avec la dignité et l'amitié qui conviennent dans une Europe désormais pacifiée et pacifique s'impliquant avec conviction dans l'établissement d'un ordre international plus juste et plus stable.
Les derniers acteurs de cette Première Guerre mondiale ayant disparu, le Centenaire sera sans doute la dernière occasion d'offrir un moment privilégié de "réflexion historique et de pédagogie civique" en proposant aux plus jeunes générations les clés de compréhension d'une période parmi les plus difficiles de notre histoire nationale.
Durant plus de quatre ans, la France sera ainsi la destination privilégiée de tous ceux qui, de par le Monde, auront à coeur de se souvenir et de comprendre. Cet intérêt pour notre pays sera un puissant moteur de notoriété internationale et de développement économique bien au-delà des seuls territoires du champs de bataille.
La Mission du Centenaire s’est fixé 7 objectifs déclinés en concertation avec son conseil scientifique :
1/ Rendre à nos soldats morts pour la France et à ceux venus mourir chez nous pour notre liberté, l'hommage qui leur est dû et partager avec tous, dans un esprit constructif d'amitié, la mémoire de ces sacrifices.
2/ Mettre à profit ce cycle mémoriel et le ravivage de notre mémoire partagée des souffrances et des bouleversements sociétaux engendrés par la Première Guerre mondiale, pour valoriser dans une Europe aujourd'hui apaisée les acquis de la construction européenne et promouvoir dans le monde les valeurs de paix et d'amitié entre les peuples portées, notamment par la SDN, dès les lendemains du conflit.
3/ Contribuer à transmettre aux jeunes générations, une histoire de la Première Guerre mondiale aux mémoires inévitablement plurielles, en faisant comprendre les événements et l’héritage qu’ils ont laissé grâce à un projet pédagogique global et cohérent.
4/ Faire comprendre que passer d'une armée de conscrits, expression de la nation en arme, à un armée de professionnels n'en rend pas moins nécessaire la défense de la nation, la reconnaissance due au soldat et le soutien dû à sa famille.
5/ Favoriser l’attractivité des territoires dont les cicatrices témoignent encore de la dureté des combats, en accompagnant le développement de leurs infrastructures touristiques et en les aidant à organiser l'accueil des visiteurs, étrangers notamment.
6/ Promouvoir les expressions culturelles et artistiques nées de la Première Guerre mondiale en soulignant les bouleversements qu'elle a engendrés et encourager leur contribution à une mémoire progressivement plus culturelle de l’événement.
7/ Faire mieux connaître la recherche historique et la coopération scientifique sur ce conflit, sa genèse et ses conséquences et faciliter la vulgarisation de leurs résultats.
Ce grand rendez-vous sera structuré autour de cinq grands enjeux :
1/ Un enjeu de rayonnement et de coopération internationale pour la France, épicentre du champ de bataille durant 52 mois : accueillir dignement les familles et les touristes du monde entier, veiller à l’organisation sur notre sol des cérémonies officielles, favoriser des projets de coopération internationale (jumelages, projets pédagogiques, culturels, etc.) ;
2/ Un enjeu pédagogique majeur avec le défi de la transmission de l’histoire et des mémoires de la Grande Guerre aux générations futures, dans un contexte d’effacement des derniers témoins de la Grande Guerre ;
3/ Un enjeu mémoriel fondamental avec l’hommage dû aux morts mais aussi le souvenir d’un moment d’unité nationale sans précédent dans notre histoire contemporaine ; une mémoire de la Première Guerre mondiale ancrée dans chaque famille et dans chaque village ;
4/ Un enjeu culturel et scientifique de premier rang : l’année 2014 s’organise comme une grande saison culturelle et mémorielle avec le concours des acteurs culturels : musées, éditeurs, médias, universités, etc.
5/ Un enjeu de développement économique et touristique pour les territoires : l’essor du tourisme de mémoire partout où la guerre a laissé des traces et des vestiges ;
Les trois missions du groupement d’intérêt public
« Mission du centenaire de la Première Guerre mondiale 1914 – 2014 » :
1/ Organiser les grands temps forts du Centenaire entre 2014 et 2018, avec notamment les grands rendez-vous de l’année 2014 (commémoration de la mobilisation générale, bataille de la Marne, etc.) ;
2/ Coordonner en élaborant notamment un programme commémoratif officiel national et accompagner l’ensemble des initiatives développées sur l'ensemble du territoire national dans le cadre du Centenaire (Comité départementaux et académiques du Centenaire et attribution du label Centenaire) ;
3/ Informer le grand public sur les préparatifs et le déroulement du Centenaire, et diffuser de la connaissance sur la Grande Guerre et sur ses traces, cicatrices et vestiges encore visibles, grâce à un portail internet de référence : www.centenaire.org
Une gouvernance partagée entre l’Etat et les territoires :
1/ Au niveau central, un groupement d’intérêt public : 16 membres fondateurs, sept ministères[1], six établissements publics de référence[2], deux associations nationales[3] et une organisation mutualiste[4], épaulés par un conseil scientifique formé des meilleurs spécialistes de la Première Guerre mondiale, un comité des communes et un comité des mécènes participent au conseil d'administration.
L'assemblée générale comprend en plus un collège territorial et un collège d’opérateurs culturels, scientifiques et pédagogiques.
Depuis novembre 2012, le GIP relève de « la mission des anniversaires des deux Guerres mondiales » créée, auprès du Ministre de la défense et présidée par le Ministre délégué auprès du Ministre de la défense, chargé des Anciens Combattants. Cette mission des anniversaires a pour objet de concevoir, d'animer et de coordonner les initiatives à caractère international ou national propres à rendre hommage aux hommes et aux femmes qui ont lutté pour la défense de la France pendant la Première Guerre mondiale et pour sa défense, sa libération et la victoire sur le nazisme pendant la Seconde Guerre mondiale. Elle s’appuie sur le GIP pour tout ce qui a trait à l’anniversaire de la Première Guerre mondiale et sur les services du ministère de la défense et de l'Office national des anciens combattants et victimes de guerre pour tout ce qui concerne la seconde.
Au sein de cette mission, le monde combattant contribue à l'animation d'un comité d'éthique présidé par le MINDAC.
2/ Dans les territoires, des comités départementaux du centenaire placés sous l’autorité des préfets, ouverts à l’ensemble des acteurs (collectivités territoriales, services déconcentrés de l’Etat, associations, etc.) sont chargés de définir la feuille de route territoriale pour le Centenaire ; a ce jour, 92 CDC ont étéconstitués et sont au travail pour sélectionner les projets les plus innovants et préparer le projet départemental du Centenaire.
Dans chaque académie un comité académique du centenaire et un référent« mémoire et citoyenneté » complètent le dispositif.
Les deux volets de ce cycle mémoriel :
Le volet cérémonies officielles :
Il s’agit pour l’essentiel des cérémonies commémoratives locales, nationales et internationales qui se dérouleront de façon chronologique sur les lieux où se sont déroulés les événements. Par exemple, la 1re bataille de la Marne en 2014, les batailles de la Somme et de Verdun en 2016, du Chemin des Dames en 1917 etc…Elles pourront être présidées par les plus hautes autorités de l’État en présence de chefs d'états ou de gouvernements étrangers.
Mais il pourra s’agir aussi de la commémoration d’événements de dimension nationale ou internationale comme la mobilisation 2014 et l’arrivée des troupes américaines par exemple ou d’hommage rendu à des personnalités qui ont marqué de leur empreinte ces moments de notre histoire nationale.
Leur calendrier est en cours de finalisation.
Le volet culturel, scientifique, éducatif et touristique :
Sa finalité est essentiellement pédagogique en direction du plus grand nombre, les jeunes notamment. Ce sont tous les événements qui sont en cours d’élaboration au niveau national et local à l’initiative d’organismes institutionnels, de collectivités territoriales, d’associations, d'entreprises privées et de particuliers et qui peuvent être classés selon la typologie suivante :
- expositions (Beaux-arts, photographies, archives, expositions itinérantes) ;
- productions audiovisuelles (documentaires, fictions, docu-fictions, collectes de témoignages, web-doc) ;
- publications (témoignages, essais, bande dessinée, beaux livres de photographies, archives, rééditions) ;
- spectacles vivants (concerts, lectures, lectures-concerts, pièces de théâtre, comédies musicales, spectacles de danse) ;
- productions multimédia (applications pour Smartphones et tablettes de géolocalisation ou réalité augmentée, sites internet) ;
- activités de recherche (colloques, conférences, séminaires) ;
- entretien et mise en valeur du patrimoine (tourisme de mémoire, chemins de mémoire, mise en réseau, numérisation d’archives, restauration ou entretien de monuments et traces matérielles de la Grande Guerre, projet archéologique) ;
- événements très divers (son et lumière, pyrotechnie, projection vidéo/image),
- projets pédagogiques (production de support pédagogique, réalisation d’un projet pédagogique), festivals (photographie, bande dessinée, histoire, musique, etc.) ;
- Naturellement cette action se prolonge à l'étranger comme atteste par exemple l'opération « Sarajevo cœur de l'Europe » et les projets développés avec l'Allemagne.
Le catalogue de ces événements sera finalisé à l’automne 2013 après exploitation des projets adressés à la mission soit directement soit par les comités départementaux du centenaire. Le conseil d'administration du GIP en dressera un premier bilan début juillet.
Pour conclure :
Deux mots clé : honorer, comprendre et par extension faire comprendre, d'où nous déclinerons tout le reste : des commémorations officielles au plus haut niveau des états, dans une logique plutôt chronologique et sur les lieux les plus porteur de sens, mais aussi, avec un effort prononcé en 2014, la mise en œuvre d'une grande dynamique intellectuelle et culturelle aux vertus pédagogiques, notamment en direction des plus jeunes.
Une obligation : accueillir dignement, dans un esprit d'amitié le grand pèlerinage national et international de tous ceux qui viendront se souvenir et comprendre.
Une opportunité d'affirmer notre fierté d'être Français, de réaffirmer notre solidarité internationale et de consolider la nécessaire fraternité entre les peuples.
Une dynamique puissante est en marche...elle a besoin de votre implication résolue !
Général d'armée (2S) Elrick IRASTORZA
[1] / Défense, Culture et communication, Education nationale, Affaires étrangères, Enseignement supérieur et recherche, Artisanat-commerce et tourisme, Intérieur.
[2] / Institut français, ONAC, Musée de l’armée, ECPAD, BNF, CNDP.
[3] / Association des Maires de France, Souvenir français.
[4] / CARAC.
> Christian Vanneste